Affecté ces temps-ci par une crise, le conglomérat sidérurge de Sanjeev Gupta essaye tant bien que mal de se relever en s’implantant au Royaume-Uni. Pour ce qui est de la France, il est quasiment inexistant. Cela est dû par la dette énorme que l’Indo-Britannique doit à son principal créditeur, qui n’est autre que, Greensill. Dans les lignes qui suivent nous allons vous expliquer dans les détails les faits, histoire de vous mettre dans le bain ! Préparez-vous à vous délecter d’actualité !


GFG Alliance évite la faillite mais disparaît presque en France
La relance inattendue de GFG Alliance

C’est un fait qui a surpris plus d’un. En effet,  le conglomérat Sidérurge de Sanjeev Gupta a réussi à se relever petit à petit de sa presque disparition, à ses débuts de GFG Alliance  fut le résultat du rachat de beaucoup d’usines américaines, australiennes, tchèques et polonaises. Il a été créé il y a de cela 7 ans.  Mais depuis que sa principale source de financement lui a coupé l’herbe sous le pied, il a du mal à se mettre debout. Toutefois, dans  un communiqué récent, il fait état d’une étape indispensable à sa relève. Cela lui permettra de rembourser ses créanciers.

GFG Alliance en pleine crise

En effet, six mois avant, il avait une renommée importante. Cependant cette renommée n’existe plus. Beaucoup de concurrents se sont même précipités pour acquérir l’entreprise au rabais, d’autres se sont contentés de lui prendre ses derniers actifs restants. Ce qui lui a fait perdre le contrôle de ses fonderies automobiles dans la Vienne et l’Indre. Le tout est  placé en redressement judiciaire. L’usine est en effet, dans de très grosses difficultés. Mais, espère que cette nouvelle stratégie de restructurations sera la bonne et lui permettra de payer ses dettes et de sortir enfin de ce cauchemar.

En global, retenons que GFG Alliance traverse une période de crise extrêmement difficile. Mais malgré tout cela continue à se battre pour sauver cet empire. Pour cela il essaye tant bien que mal de mettre en œuvre de nouvelles stratégies. Et qui sait peut-être que la prochaine sera la bonne ! Toujours est-il que la phase de redressement judiciaire est toujours en cours et son aboutissement dépend seulement des avancées que le conglomérat va réaliser dans les prochains jours, mois, ou années à venir.