Renault-Nissan a fait une sortie pour éclairer à son sujet. Après des mois d’échange, il brise son silence pour expliquer sa situation financière.


Alliance Renault-Nissan: Renault n’est-il plus le boss ?

A son arrivée en 2020 en tête de Renault, Luca De Meo n’avait pas que pour objectif de mettre les nouveaux modèles électriques sur scène. Le remplaçant de Carlos Ghosn démontre en dehors de la scène les analyses afin de pouvoir sauver l’avenir de l’entreprise et de lui assurer une vie perpétuelle. La séparation du budget du Losange en deux entités, Ampère et Horse, est de faire venir des nouveaux investisseurs de l’électrification.

Renault et Nissan unissent leurs forces depuis 1999. Cette union dure à peu près 25 ans, et Nissan n’a jamais été l’équivalent de Renault. Il ne pouvait pas se le permettre, compte tenu que le nippon se tenait à faire faillite lorsque le Losange est allé le secourir dans les années 90.

Jusqu’à nos jours, Renault détient 43% de Nissan lorsque celui ci qu’à peu près un total de 15% du fonds du Losange. Une union d’apparence qui vient sortir Nissan du pétrin, tout en pénalisant le géant japonais.


 

Des parts de Renault à vendre, mais pas pour le moment!


 

Nissan est de nouveau rétabli. Renault se trouve dans des ennuis et Carlos Ghosn est intrigué. Depuis quelques mois, les échanges sont en bonne voie en interne. C’est aujourd’hui que le groupe a officiellement franchi “une étape majeure sur la définition des nouvelles bases du partenariat”. Si seulement le collectif de l’administration validait les mutations, le Losange n’aurait dans peu que 15% du capital de Nissan tandis que celui-ci resterait à ce niveau de participation chez Renault.

Cependant, la future Nissan Micra sur base de Renault 5 électrique sera bâti à Douai, alors que les néo Mitsubishi ASX et Colt sont des Captur et Clio avec de légères améliorations au niveau du logo, mais bâties dans les mêmes sociétés respectives en Espagne et Turquie.

En outre, Luca De Meo avait annoncé, personnellement sans l’avis de son partenaire, que Nissan investira dans Ampère, une entité électrique et de logiciel.

Par peur de perdre 10 milliards de dollars, Nissan ne peut pas vendre ses 28% restants, puisqu’il ne peut décider sans son partenaire et l’action de ce dernier est au-dessus. Ils confieront plus tard à une entreprise conventionnelle de gérer l'affaire d’actions et de revente. Pour le moment l’on attend le 6 février pour pouvoir valider les choix stratégiques que d’autant suggèrent de divorce, mais pourtant il peut y avoir des dynamiques au-delà et plus que positive.