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3 Avril 2015

Selon un sondage réalisé par OpinionWay pour Meilleursagents, 79% des Français jugent Internet utile dans le domaine de l’immobilier. Il n’en faut pas davantage pour rendre compte de l’importance croissante d’Internet dans notre quotidien. Une tendance sur laquelle Capifrance surfe depuis 2002, grâce à un modèle d’agence immobilière en ligne en cohérence avec l’évolution des modes de vie. Sans oublier, pour autant, que la présence de ses agents mandataires sur le terrain demeure la clé ultime de la satisfaction client.


Capifrance, l’agence immobilière 2.0
Construire l’immobilier de demain

Inventer l’agence immobilière du 21ème siècle, mais surtout accroître la qualité de l’intermédiation entre un vendeur et un acquéreur, telle est la mission que s’était fixé Jean-Claude Cottet-Moine, le fondateur de Capifrance en 2002. C’est ce qu’explique aujourd’hui Jacques Daboudet, le PDG de Capifrance, selon lequel « la force de l’idée du fondateur est d’avoir compris avant tout le monde les potentialités du web en termes de « vitrine » pour les biens immobiliers, comparativement à une agence classique ». Grâce aux économies permises par l’absence d’agence physique, Capifrance permet une rémunération « entre 70 % et 98 % des honoraires sur une transaction, contre une moyenne de 30 à 40 % dans une agence traditionnelle » confie son PDG. De même, le client se voit proposer « des honoraires de transaction au « juste prix », compte tenu du fait que [ce] prix n’intègre pas de charges fixes » poursuit Jacques Daboudet.

Au-delà des arguments économiques, Capifrance déploie une stratégie digitale en faveur de services à forte valeur ajoutée. Ainsi, le pure player de l’immobilier 2.0 propose à ses clients d’expérimenter le home staging. « Cet outil de simulation virtuelle éclaire les choix d’acquéreurs potentiels qui renoncent parfois à un achat, faute de pouvoir se projeter à l’intérieur et de visualiser les résultats après travaux éventuels (travaux dont notre outil permet d’ailleurs d’estimer le montant !) », précise Jacques Daboudet. Du côté des agents, le réseau fournit  également des logiciels performants afin de valoriser et faciliter la vente. Il s’agit ici d’accroître la force de frappe que permet la publication d’un large portefeuille immobilier sur les portails en ligne. Le modèle répond de la sorte aux exigences des consommateurs qui souhaitent profiter à la fois des avantages d’Internet et des conseils avisés de professionnels. En effet, 66% des acheteurs et vendeurs considèrent l’outil numérique comme indispensable et 57% déclarent avoir besoin d’un agent immobilier (sondage OpinionWay pour Meilleurstaux).

La proximité au cœur de la stratégie Capifrance

Pas d’agence physique donc, mais 1400 agents présents dans toute la France (DOM y compris), telle est la clef du modèle Capifrance. Ces derniers maillent le territoire et travaillent en « home office », c’est-à-dire qu’ils travaillent à l’endroit où ils vivent pour proposer des biens aux alentours. Ce sont donc des experts de terrain en phase avec les prix du marché et capables de renseigner les acheteurs sur les conditions de vie au sein de la commune (proximité d’établissements scolaires, dynamisme, quiétude …) ; raison pour laquelle Capifrance vient également de signer un partenariat avec le site kelquartier.com, ainsi que l’explique son PDG : « il est question d’accompagner le client au cas par cas, en lui proposant toute l’information possible pour l’aider dans sa décision. Tous nos développements vont dans ce sens, parce que cela constitue le cœur de notre conception de la qualité de service. »

Ces paramètres sont décisifs lors d’un achat immobilier : les Français apprécieraient pour 95% que l’agent immobilier dispense plus facilement des conseils « non commerciaux », et pour 75% qu’il participe davantage à la vie sociale du quartier, selon un récent sondage. « Nous pensons que le web occupe une place majeure, mais que la clientèle a tout de même besoin de conseillers proches, notamment lorsqu’il s’agit d’un enjeu aussi fort que celui d’acheter un bien immobilier », explique le directeur général délégué de Capifrance, Philippe Buyens. Et les exigences sont toujours plus fortes en matière d’immobilier car 57% des Français attendent d’un agent immobilier qu’il propose des solutions adaptées à leurs souhaits dans cette étape de vie importante. Aussi, Capifrance défend un accompagnement –notamment juridique- sur mesure depuis la signature du mandat jusqu’à l’acte notarial. Une manière de faire valoir un atout concurrentiel majeur, d’autant que les transactions entre particuliers n’ont jamais été aussi nombreuses grâce au web.

S’engager pour un marché de l’immobilier responsable

Le marché de l’immobilier reste plombé par un déficit de confiance tant sur le terrain de la sécurité juridique que de l’image. La faute aux dérives d’un marché en crise ? Face aux 66% de Français qui disent avoir une mauvaise opinion des agents immobiliers, Capifrance mise sur la transparence et la sécurité  juridique de la prestation. Le réseau a ainsi mis en place un département juridique qui « accompagne l’agent mandataire en charge du dossier » explique le PDG de Capifrance. « Une fois signés, tous les compromis sont contrôlés au siège, avec une attention particulière pour toutes les obligations reposant à la fois sur l’acheteur (obtentions du crédit…) et sur le vendeur (diagnostics…) » poursuit Jacques Daboudet pour lequel « ce sont des gages de sécurité qui sont souvent sous-estimés ».

Mais ce qui différencie le plus le réseau, c’est bien le soin porté à la formation de ses « agents 2.0 ». Capifrance a bien compris que de nombreux clients estiment que les professionnels du secteur sont les interlocuteurs les mieux placés pour leur donner des informations fiables en matière d’immobilier. Ainsi, l’enseigne « met en œuvre actuellement un des parcours de formation les plus complets en France, avec 25 modules totalisant plus de 350 heures de formation. En fonction des profils, la personne recrutée pourra bénéficier de tout ou partie de ces 25 modules, sur une période pouvant aller jusqu’à 24 mois. Notre formation permet à quiconque ambitionne de faire carrière dans l’immobilier d’acquérir les compétences, le savoir-faire et le savoir-être requis » précise Jacques Daboudet. Des modules d’enseignement complémentaires sont également dispensés en formation continue, ce qui permet à l’agent mandataire de rester au fait d’une législation fleuve. Ces professionnels sont en outre appuyés par une équipe de plus de 70 experts du siège et sont encadrés sur le terrain par des coaches régionaux. De quoi permettre à l’enseigne d’affirmer que ses agents sont « indépendants mais jamais seuls ».

Car en dépit de la crise, entre 2009 et 2014, le réseau est passé de 15 millions à 56 millions d’euros de chiffre d’affaires pour devenir, en nombre d’agents, la « première agence immobilière de France ».