Le directeur général de Danone, Antoine de Saint-Affrique, a mentionné dans le communiqué que ces correspondants recherchés aux objectifs à moyen terme ont annoncé l'année dernière. En 2022, le chiffre d'affaires du groupe a augmenté de 13,9% en données publiées et de 7,8% en données comparables, atteignant 27,56 milliards d'euros. En termes de données comparables, les ventes du segment Eaux ont augmenté de 10,5% en 2022, celles de la division Nutrition Spécialisée ont augmenté de 15,1%, et celles des produits laitiers et d'origine végétale ont augmenté de 5, 8 %. Au quatrième trimestre, les ventes de Danone ont augmenté de 12,3 % en glissement annuel en données publiées et de 7 % en données comparables, atteignant 7,01 milliards d'euros. Les ventes ont un effet positif des prix de 11,3% en données comparables et d' un effet négatif du "volume/mix" de 4,4%. En 2022, le résultat courant opérationnel (ROC) du groupe a augmenté de 1,2% en données publiées et a diminué de 4,3% en données comparables par rapport à 2021, atteignant 3,38 milliards d'euros, ce qui a entraîné une marge opérationnelle de 12,2%, en baisse de 161 points de base en comparable. Danone a indiqué que ce recul s'explique principalement par l'impact fortement négatif de l'inflation des coûts des intrants, estimé à environ -730 points de base (net des effets de productivité). Le groupe a également précisé que cet effet négatif a été partiellement compensé par l'impact positif des leviers de croissance, qui inclut le volume, le mix et les prix, pour un effet cumulé d'environ +570 points de base. Le résultat opérationnel courant (ROC) du groupe a augmenté de 1,2% en données publiées et a diminué de 4,3% en données comparables par rapport à 2021, atteignant 3,38 milliards d'euros, ce qui a entraîné une marge opérationnelle de 12,2%, en baisse de 161 points de base en comparable. Danone a indiqué que ce recul s'explique principalement par l'impact fortement négatif de l'inflation des coûts des intrants, estimé à environ -730 points de base (net des effets de productivité).
En 2022, Danone a enregistré un résultat net part du groupe de 959 millions d'euros, en baisse par rapport à l'année précédente, où il était de 1,92 milliard d'euros. Les analystes, selon une moyenne établie par FactSet, prévoyaient un chiffre d'affaires de 27,56 milliards d'euros, un ROC de 3,35 milliards d'euros et un résultat net de 1,87 milliard d'euros pour 2022. Danone avait pour sa part montré que ses ventes progressaient de 7 % à 8 % de manière organique en 2022, et qu'elle afficherait une marge opérationnelle courante supérieure à 12 % sur l'ensemble de l'année. Le conseil d'administration propose un dividende de 2 euros par action pour l'exercice 2022 à l'assemblée générale du 27 avril prochain, soit une augmentation de 3,1% par rapport à l'année précédente.
Concernant les futurs 13 000 embauches prévues à travers le monde en 2023, Airbus a récemment déclaré que 3 500 seront attribués à la France, parmi lesquelles 2 300 seront prétendues à la branche des avions commerciaux, 700 à la section de défense et d'espace et 500 pour les hélicoptères. Dans cette optique, environ 80 % des travailleurs affectés pour la division avions commerciaux seront à Toulouse, représentant ainsi près de 1 840 embauches, tandis que la majorité des recrutements pour la division spatiale se fera à Labège (31) et dans la région parisienne. Airbus emploie actuellement 48 000 personnes en France, avec 28 000 dans la région de Haute-Garonne. L'Allemagne a 45 000 employés, l'Espagne 13 000 et le Royaume-Uni 10 000.
La moitié des 3 500 recrutements français prévus sont destinés à remplacer les départs naturels, tandis que l'autre moitié est réservée à la création de postes dans des domaines liés à l'avion vert tels que l'électrification, la propulsion, l'hydrogène , la robotique, le cloud, etc. Dans ces embauches, 30 % seront des jeunes ou des diplômés récents, et 30 % seront des femmes. Les professions traditionnelles liées aux fonctions "cœur", telles que les mécaniciens d'avions, les chaudronniers, les usineurs, etc., resteront également un enjeu majeur pour cette année. "Nous avons connu une augmentation soutenue de la cadence depuis 18 mois. Notre priorité en matière de recrutement est d'accueillir le plus grand nombre de personnes possibles dans les fonctions de production et de les former pour qu'elles soient opérationnelles”, a indiqué le DRH d’Airbus.
L'avionneur vise à livrer 720 avions en 2023, mais l'année dernière, il a manqué son objectif avec seulement 661 appareils fabriqués. Le Lycée Airbus à Toulouse accueille désormais 500 élèves en apprentissage après l'ouverture de deux nouvelles classes et une augmentation de 20% des effectifs en seconde. À partir du 1er janvier 2024, les nouveaux accords d'entreprise "Reload" entreront en vigueur, ce qui a nécessité 127 jours de négociations sur une période de 19 mois pour réglementer les règles de protection sociale, le temps de travail, les congés, la rémunération, etc. Ces accords ont été signés par toutes les organisations syndicales représentatives, à l'exception de la CGT. Les accords précédents remontent aux années 70 et présentent des différences de traitement entre les différentes divisions.
Le véhicule du groupe Crédit Agricole affiche un bénéfice net en hausse de 9% à 1,56 milliard d'euros durant le dernier trimestre, dépassant les attentes des analystes qui étaient en moyenne de 1,14 milliard selon les données Refinitiv. Au cours de la période d'octobre à décembre, ses recettes ont augmenté de 2,7 % tandis que ses frais d'exploitation, surveillés de près par le marché, ont diminué de 4,3 %.
Une baisse de 31,5% de son (Crédit Agricole) coût du risque
A la Bourse de Paris, les actions du Crédit Agricole ont augmenté de 4,8502% à 11,76 euros à 10h15, enregistrant la deuxième plus forte progression du CAC 40 après Legrand. Les analystes de JP Morgan et de Credit Suisse ont mis l'accent dans une note de recherche que le quatrième trimestre a fourni d'une solide performance à la fois dans la banque de financement et d'investissement et dans l'assurance, où les revenus ont bondi de 51 %. Cependant, chez Jefferies, les analystes se demandent si cette performance en assurance sera durable, la banque ayant mentionné des provisions techniques liées à l'augmentation des taux. Le directeur général du Crédit Agricole, Philippe Brassac, a déclaré lors d'une conférence de presse : "Avec ces résultats, les revenus ont diminué de 14,8%. Le directeur général délégué du Crédit Agricole, Xavier Musca, a souligné : "Nous avons un modèle qui est plus stable que celui de nos concurrents. Lorsque les marchés sont performants, nous prenons moins le vent que nos concurrents de BNP et de Société Générale. Lorsque la situation est difficile, notre résultat résiste mieux". La banque prévoit de verser un dividende de 1,05 euro par action pour l'exercice 2022. Elle n'a pas souhaité commenter les informations concernant son intérêt présumé pour un rachat d'Orange Bank, la filiale bancaire de l'opérateur télécom Orange , alors que BNP Paribas a écarté tout intérêt mardi. Nous avons un modèle qui est plus stable que celui de nos concurrents. Lorsque les marchés sont performants, nous prenons moins le vent que nos concurrents de BNP et de Société Générale. Lorsque la situation est difficile, notre résultat résiste mieux". La banque prévoit de verser un dividende de 1,05 euro par action pour l'exercice 2022. Elle n'a pas souhaité commenter les informations concernant son intérêt présumé pour un rachat d' Orange Bank, la filiale bancaire de l'opérateur télécom Orange, alors que BNP Paribas a écarté tout intérêt mardi. Nous avons un modèle qui est plus stable que celui de nos concurrents. Lorsque les marchés sont performants, nous prenons moins le vent que nos concurrents de BNP et de Société Générale. Lorsque la situation est difficile, notre résultat résiste mieux". La banque prévoit de verser un dividende de 1,05 euro par action pour l'exercice 2022. Elle n'a pas souhaité commenter les informations concernant son intérêt présumé pour un rachat d' Orange Bank, la filiale bancaire de l'opérateur télécom Orange, alors que BNP Paribas a écarté tout intérêt mardi.
A son arrivée en 2020 en tête de Renault, Luca De Meo n’avait pas que pour objectif de mettre les nouveaux modèles électriques sur scène. Le remplaçant de Carlos Ghosn démontre en dehors de la scène les analyses afin de pouvoir sauver l’avenir de l’entreprise et de lui assurer une vie perpétuelle. La séparation du budget du Losange en deux entités, Ampère et Horse, est de faire venir des nouveaux investisseurs de l’électrification.
Renault et Nissan unissent leurs forces depuis 1999. Cette union dure à peu près 25 ans, et Nissan n’a jamais été l’équivalent de Renault. Il ne pouvait pas se le permettre, compte tenu que le nippon se tenait à faire faillite lorsque le Losange est allé le secourir dans les années 90.
Jusqu’à nos jours, Renault détient 43% de Nissan lorsque celui ci qu’à peu près un total de 15% du fonds du Losange. Une union d’apparence qui vient sortir Nissan du pétrin, tout en pénalisant le géant japonais.
Des parts de Renault à vendre, mais pas pour le moment!
Nissan est de nouveau rétabli. Renault se trouve dans des ennuis et Carlos Ghosn est intrigué. Depuis quelques mois, les échanges sont en bonne voie en interne. C’est aujourd’hui que le groupe a officiellement franchi “une étape majeure sur la définition des nouvelles bases du partenariat”. Si seulement le collectif de l’administration validait les mutations, le Losange n’aurait dans peu que 15% du capital de Nissan tandis que celui-ci resterait à ce niveau de participation chez Renault.
Cependant, la future Nissan Micra sur base de Renault 5 électrique sera bâti à Douai, alors que les néo Mitsubishi ASX et Colt sont des Captur et Clio avec de légères améliorations au niveau du logo, mais bâties dans les mêmes sociétés respectives en Espagne et Turquie.
En outre, Luca De Meo avait annoncé, personnellement sans l’avis de son partenaire, que Nissan investira dans Ampère, une entité électrique et de logiciel.
Par peur de perdre 10 milliards de dollars, Nissan ne peut pas vendre ses 28% restants, puisqu’il ne peut décider sans son partenaire et l’action de ce dernier est au-dessus. Ils confieront plus tard à une entreprise conventionnelle de gérer l'affaire d’actions et de revente. Pour le moment l’on attend le 6 février pour pouvoir valider les choix stratégiques que d’autant suggèrent de divorce, mais pourtant il peut y avoir des dynamiques au-delà et plus que positive.